“Souvent, je m'en achète une livre, je m'installe quelque part au soleil, au bord de la mer, ou n'importe où, sur un trottoir ou sur un banc, je mords dans mon concombre et me voilà complètement heureux. Je reste là, au soleil, le coeur apaisé, en regardant les choses et les hommes d'un oeil amical et je sais que la vie vaut vraiment la peine d'être vécue, que le bonheur est accessible, qu'il suffit simplement de trouver sa vocation profonde, et de se donner à ce qu'on aime avec un abandon total de soi.”
“Avec l'amour maternel, la vie vous fait, à l'aube, une promesse qu'elle ne tient jamais. Chaque fois qu'une femme vous prend dans ses bras et vous serre sur son coeur, ce ne sont plus que des condoléances. On revient toujours gueuler sur la tombe de sa mère comme un chien abandonné. Jamais plus, jamais plus, jamais plus. Des bras adorables se referment autour de votre cou et des lèvres très douces vous parlent d'amour, mais vous êtes au courant. Vous êtes passé à la source très tôt et vous avez tout bu. Lorsque la soif vous reprend, vous avez beau vous jeter de tous côtés, il n'y a plus de puits, il n'y a que des mirages. Vous avez fait, dès la première lueur de l'aube, une étude très serrée de l'amour et vous avez sur vous de la documentation. Je ne dis pas qu'il faille empêcher les mères d'aimer leurs petits. Je dis simplement qu'il vaut mieux que les mères aient encore quelqu'un d'autre à aimer. Si ma mère avait eu un amant, je n'aurais pas passé ma vie à mourir de soif auprès de chaque fontaine. Malheureusement pour moi, je me connais en vrais diamants.”
“I always had a strong reluctance to hurt people, which is always the best way of hurting oneself.”
“Виждам живота като щафета, в която, преди да рухне, всеки трябва да отнесе възможно най-далеч предизвикателството да бъдеш човек.”
“... боговете не проиграват сърцата на майките с подправени зарове.”
“<...> į gyvenimą žvelgiu kaip į didžiulę estafetę, kurioje kiekvienas mūsų prieš pargriūdamas privalo kuo toliau nunešti iššūkį būti žmogumi <...>”
“Je devais un jour opter pour la littérature, qui me paraissait le dernier refuge, sur cette terre, de tous ceux qui ne savent pas où se fourrer.”
“С майчината любов още в зората си животът ви дава обещание, което никога не изпълнява. И после си принуден да зъзнеш до края на дните си.”
“Tik priartėjus ketvirtą dešimtį, po ilgų klajonių tarp šedevrų man atsivėrė tiesa ir supratau, kad paskutinio kamuoliuko išvis nėra.”
“Humoru žmogus pareiškia savo orumą ir teigia savo pranašumą prieš tai, kas jam nutinka.”
“finalement, éperdu d'amour et au comble de la frénésie érotique, je m'assis dans l'herbe et j'enlevai un de mes souliers en caoutchouc.
— Je vais le manger pour toi, si tu veux. Si elle le voulait I Ha! Mais bien sûr qu'elle le voulait, voyons! C'était une vraie petite femme. --- Elle posa son cerceau par terre et s'assit sur ses ta-lons. Je crus voir dans ses yeux une lueur d'estime. Je n'en demandais pas plus. Je pris mon canif et enta-mai le caoutchouc. Elle me regardait faire.
— Tu vas le manger cru ?
— Oui.
J'avalai un morceau, puis un autre. Sous son regard enfin admiratif, je me sentais devenir vraiment un homme. Et j'avais raison. Je venais de faire mon apprentissage. J'entamai le caoutchouc encore plus profondément, soufflant un peu, entre les bouchées, et je continuai ainsi un bon moment, jusqu'à ce qu'une sueur froide me montât au front. Je continuai même un peu au-delà, serrant les dents, luttant contre la nausée, ramassant toutes mes forces pour demeurer sur le terrain, comme il me fallut le faire tant de fois, depuis, dans mon métier d'homme.
Je fus très malade, on me transporta à l'hôpital, ma mère sanglotait, Aniela hurlait, les filles de l'atelier geignaient, pendant qu'on me mettait sur un brancard dans l'ambulance. J'étais très fier de moi.
Mon amour d'enfant m'inspira vingt ans plus tard mon premier roman Éducation européenne, et aussi certains passages du Grand Vestiaire.
Pendant longtemps, à travers mes pérégrinations, j'ai transporté avec moi un soulier d'enfant en caoutchouc, entamé au couteau. J'avais vingt-cinq ans, puis trente, puis quarante, mais le soulier était toujours là, à portée de la main. J'étais toujours prêt à m'y attabler, à donner, une fois de plus, le meilleur de moi-même. Ça ne s'est pas trouvé. Finalement, j'ai abandonné le soulier quelque part derrière moi. On ne vit pas deux fois.
(La promesse de l'aube, ch. XI)”
“Tuomet mes iš tikrųjų buvome pasiekę dugną - nesakau "prarajos", nes nuo tada patyriau, kad praraja dugno neturi ir kad mes visi galim mušti gylio rekordus, niekada neišsemdami tos įdomios institucijos galimybių.”
“O aš, degdamas nekantrumu, nubėgau atnaujinti savo draugystės su jūra. Ji atpažino mane iškart ir atbėgo lyžtelti kojų pirštų.”
“je n'ai jamais contemplé l'inceste sous cette terrible lueur de caveau et de damnation éternelle qu'une fausse morale s'est délibérément appliquée à jeter sur une forme d'exubérance sexuelle qui, pour moi, n'occupe qu'une place extrêmement modeste dans l'échelle monumentale de nos dégradations. Toutes les frénésies de l'inceste me paraissent infiniment plus acceptables que celles d'Hiroshima, de Buchenwald, des pelotons d'exécution, de la terreur et de la torture policières, mille fois plus aimables que les leucémies et autres belles conséquences génétiques probables des efforts de nos savants. Personne ne me fera jamais voir dans le comportement sexuel des êtres le critère du bien et du mal. La funeste physionomie d'un certain physicien illustre recommandant au monde civilisé de poursuivre les explosions nucléaires m'est incomparablement plus odieuse que l'idée d'un fils couchant avec sa mère. A côté des aberrations intellectuelles, scientifiques, idéologiques de notre siècle, toutes celles de la sexualité éveillent dans mon coeur les plus tendres pardons. Une fille qui se fait payer pour ouvrir ses cuisses au peuple me paraît une soeur de charité et une honnête dispensatrice de bon pain lorsqu'on compare sa modeste vénalité à la prostitution des savants prêtant leurs cerveaux à l'élaboration de l'empoisonnement génétique et de la terreur atomique. A côté de la perversion de l'âme, de l'esprit et de l'idéal à laquelle se livrent ces traîtres à l'espèce, nos élucubrations sexuelles, vénales ou non, incestueuses ou non, prennent, sur les trois humbles sphincters dont dispose notre anatomie, toute l'innocence angélique d'un sourire d'enfant. (La promesse de l'aube, ch. X)”
“Mačiau mėlyną jūrą, akmenėlių paplūdimį ir saulėje džiūstančias žvejų valtis. Žvelgiau į ją. Kažkas man pasidarė. Nežinau kas: apėmė begalinė ramybė, jausmas, jog visiškai kažkam pasiduodu. Nuo tada jūra visiems laikams tapo man kuklia, bet ganėtina metafizika. Nemoku kalbėti apie jūrą. Žinau tik tiek, kad ji staiga išlaisvina mane nuo visų įsipareigojimų. Kiekvieną kartą, kai į ją žvelgiu, tampu laimingu skenduoliu.”
“... văn chương là nơi nương tựa cuối cùng trên cõi đời cho những ai không biết náu mình vào đâu nữa”
“За да се изправя срещу живота, винаги ми е била нужна утехата на една едновременно предана и уязвима женственост, донякъде покорна и признателна, която да ми създава чувството, че давам, когато вземам, че ме подкрепя тогава, когато се опирам на нея.”
“La vie est pavée d'occasions perdues.”
“Tačiau tai bergždžias darbas, ir kai vadiniesi Mikelandželu, Goja, Mocartu, Tolstojumi, Dostojevskiu ar Malro, numiršti negalėdamas atsikratyti jausmo, jog kurpei bakalėjos gaminius.”
“Mintis tuojau pat vykti į Berlyną, per pačius karščius, aišku, trečia klase, kad nužudyčiau Hitlerį, ir visi su tuo susiję pasiruošimai, nervų įtampa bei nuovargis manęs visai nežavėjo. <...> Bemeilijau nužudyti fiurerį spalį, prasidėjus mokslo metams.”
“je lui tendis les trois pommes vertes que je venais de voler dans le verger. Elle les accepta et m'annonça, comme en passant :
— Janek a mangé pour moi toute sa collection de timbres-poste.
C'est ainsi que mon martyre commença. Au cours des jours qui suivirent, je mangeai pour Valentine plusieurs poignées de vers de terre, un grand nombre de papillons, un kilo de cerises avec les noyaux, une souris, et, pour finir, je peux dire qu'à neuf ans, c'est-à-dire bien plus jeune que Casanova, je pris place parmi les plus grands amants de tous les temps, en accomplissant une prouesse amoureuse que personne, à ma connaissance, n'est jamais venu égaler. Je mangeai pour ma bien-aimée un soulier en caoutchouc.
Ici, je dois ouvrir une parenthèse.
Je sais bien que, lorsqu'il s'agit de leurs exploits amoureux, les hommes ne sont que trop portés à la vantardise. A les entendre, leurs prouesses viriles ne connaissent pas de limite, et ils ne vous font grâce d'aucun détail.
Je ne demande donc à personne de me croire lorsque j'affirme que, pour ma bien-aimée, je consommai encore un éventail japonais, dix mètres de fil de coton, un kilo de noyaux de cerises — Valentine me mâchait, pour ainsi dire, la besogne, en mangeant la chair et en me tendant les noyaux — et trois poissons rouges, que nous étions allés pêcher dans l'aquarium de son professeur de musique.
Dieu sait ce que les femmes m'ont fait avaler dans ma vie, mais je n'ai jamais connu une nature aussi insatiable. C'était une Messaline doublée d'une Théodora de Byzance. Après cette expérience, on peut dire que je connaissais tout de l'amour. Mon éducation était faite. Je n'ai fait, depuis, que continuer sur ma lancée.
Mon adorable Messaline n'avait que huit ans, mais son exigence physique dépassait tout ce qu'il me fut donné de connaître au cours de mon existence. Elle courait devant moi, dans la cour, me désignait du doigt tantôt un tas de feuilles, tantôt du sable, ou un vieux bouchon, et je m'exécutais sans murmurer. Encore bougrement heureux d'avoir pu être utile. A un moment, elle s'était mise à cueillir un bouquet de marguerites, que je voyais grandir dans sa main avec appréhension — mais je mangeai les marguerites aussi, sous son oeil attentif — elle savait déjà que les hommes essayent toujours de tricher, dans ces jeux-là — où je cherchais en vain une lueur d'admiration. Sans une marque d'estime ou de gratitude, elle repartit en sautillant, pour revenir, au bout d'un moment, avec quelques escargots qu'elle me tendit dans le creux de la main. Je mangeai humblement les escargots, coquille et tout.
A cette époque, on n'apprenait encore rien aux enfants sur le mystère des sexes et j'étais convaincu que c'était ainsi qu'on faisait l'amour. J'avais probablement raison. Le plus triste était que je n'arrivais pas à l'impressionner. J'avais à peine fini les escargots qu'elle m'annonçait négligemment :
— Josek a mangé dix araignées pour moi et il s'est arrêté seulement parce que maman nous a appelés pour le thé.
Je frémis. Pendant que j'avais le dos tourné, elle me trompait avec mon meilleur ami. Mais j'avalai cela aussi. Je commençais à avoir l'habitude.
(La promesse de l'aube, ch.XI)”
“Ecoute moi bien. La prochaine fois que ça t'arrive, qu'on insulte ta mère devant toi, la prochaine fois, je veux qu'on te ramène à la maison sur des brancards. Tu comprends ?”
“Съзерцавах морето. Нещо ставаше в мен. Не знам точно какво: някакъв безграничен покой, усещане за осъществяване. Оттогава морето винаги си остана за мен скромна, но достатъчна метафора. Не умея да говоря за морето. Знам само, че то ме освобождава от всички задължения. Колчем го погледна, се превръщам в щастлива удавник.”
“Однако пришло время сказать всю правду о сделке Фауста. Все нагло лгали по этому поводу, и больше всего и гениальнее всех – сам Гёте, чтобы, затуманив суть дела, скрыть жестокую правду. Скорее всего не нужно этого говорить, так как если я и не люблю чего-то делать, так это лишать людей надежды. И все же истинная трагедия Фауста заключается не в том, что он продал душу дьяволу. Настоящая трагедия в том, что нет никакого дьявола, чтобы купить вашу душу. Просто нет покупателя. Никто не поможет вам поймать последний мяч, какую бы цену вы за это ни предлагали. Конечно же, есть масса шарлатанов, объявляющих себя покупателями, и я не говорю, что с ними нельзя договориться так, чтобы извлечь некоторую выгоду. Можно. Это принесет вам успех, деньги, поклонение толпы. Но все это напрасный труд, и будь вы Микеланджело, Гёте, Моцарт, Толстой, Достоевский или Мальро, вы все равно умрете с чувством, что всю жизнь были простым бакалейщиком.
После вышесказанного я, конечно же, продолжаю упорствовать.”
“...rosłem i dojrzewałem w oczekiwaniu dnia, kiedy będę mógł wreszcie dosięgnąć zasłony, która cieniem okrywa świat, i zobaczyć nagle jego oblicze pełne mądrości i dobroci; z tymi niedorzecznymi i pijanymi swą potęgą bogami chciałem stoczyć walkę o władzę nad światem i zwrócić ziemię tym, którzy ją przepełniają własną odwagą i własną miłością.”
“Je revenais du lycée et m'attablais devant le plat. Ma mère, debout, me regardait manger avec cet air apaisé des chiennes qui allaitent leurs petits.
Elle refusait d'y toucher elle-même et m'assurait qu'elle n'aimait que les légumes et que la viande et les graisses lui étaient strictement défendues.
Un jour, quittant la table, j'allai à la cuisine boire un verre d'eau.
Ma mère était assise sur un tabouret; elle tenait sur ses genoux la poêle à frire où mon bifteck avait été cuit. Elle en essuyait soigneusement le fond graisseux avec des morceaux de pain qu'elle mangeait ensuite avidement et, malgré son geste rapide pour dissimuler la poêle sous la serviette, je sus soudain, dans un éclair, toute la vérité sur les motifs réels de son régime végétarien.”
“Aš vis dar laikiau gyvenimą literatūros žanru.”
“Buvau jaunas, jaunesnis nei maniau. Ir vis dėlto mano naivumas buvo jau senas ir be iliuzijų. Tiesą pasakius, jis amžinas: įžvelgiu jį kiekvienoje naujoje kartoje, pradedant 1947 metų Sen Žermen de Prė "žiurkėmis" ir baigiant Kalifornijos beat generation, pas kuriuos kartais apsilankau, nes man smagu kitose vietose ir kituose veiduose atpažinti grimasas, kurias darydavau dvidešimtmetis.”
“[...] aušra vienu mostu nužerdavo Vandenyną nuo galo iki galo, ir dangus staiga pasirodydavo visu šviesumu, o mano širdis vis dar plakdavo nakties ritmu, akys vis dar tikėdavo tamsa. Juk esu senas žvaigždžių rijikas, ir lengviausiai pasitikiu naktim.”
“Kartais man atrodo, kad gyvenu jau tik iš mandagumo, ir jeigu dar leidžiu plakti savo širdžiai, tai tik todėl, kad visada mėgau gyvūnus.”
“Already in the 1550s, 10% of Lisbon’s population were slaves; by 1800 there were close to a million slaves among the 2,500,000 or so inhabitants of Portugal’s Brazil.”
“She was surprised to feel his hand on her arm and still more surprised-almost unbelieving-to see his fingers unclasp his identification bracelet and remove it from his arm. Silently he fumbled with the bracelet and slipped it around her right wrist. with a tiny click he snapped the clasp shut. Jane gave a gasp of astonishment and turned questioning to Stan. She was wearing his identification bracelet! The silver links on her wrist were still warm from his arm”
“Traces of human life vanish very quickly: Glafira Petrovna's estate had not yet gone wild, but it seemed already to have sunk into that quiet repose which possesses everything on earth wherever there is no restless human infection to affect it.”
“Good only for destruction - has destroyed all that was valuable in the monarchy - is destroying France with daemonic energy - this tawdry, theatrical empire - a deeply vulgar man - nothing French about him - insane ambition - the whole world one squalid tyranny. His infamous treatment of the Pope!”
“Dr. Bone Specialist came in, made me stand up and hobble across the room, checked my reflexes, and then made me lie down on the table. He bent my right knee this way and that, up and down, all the way out to the side and in. Then he did the same with my left leg. He ordered X rays then started to leave the room. I panicked. I MUST GET DRUGS.
"What can I take for the pain?" I asked him before he got out the door.
"You can take some over the counter ibuprofen," he suggested. "But I wouldn't take more than nine a day."
I choked. Nine a day? I'd been popping forty. Nine a day? Like hell. I couldn't even go to the bathroom on my own, I hadn't slept in three weeks, and my normally sunny cheery disposition had turned into that of a very rabid dog. If I didn't get good drugs and get them now, it was straight to Shooter's World and then Walgreens pharmacy for me.
"I don't think you understand," I explained. "I can't go to work. I have spent the last four days with my mother who is addicted to QVC, watching jewelry shows, doll shows and make-up shows. I almost ordered a beef-jerky maker! Give me something, or I'm going to use your calf muscles to make the first batch!"
Without further ado, he hastily scribbled out a prescription for some codeine and was gone. I was happy.
My mother, however, had lost the ability to speak.”
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